C’est une enquête menée en 2012 par la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) qui révèle un taux élevé d’ anomalies dans ce secteur souvent décriés pour son opacité et ces commerçants peu scrupuleux.
Ainsi, cet organe rattaché au ministère de l’économie et des finances ne vient pas contredire les a priori du secteur. Cette étude a été fait sur 463 établissements et montre que 251 d’entre eux se trouvé en situation d’anomalie soit un taux de 54,2%. À noter que les « établissements » contrôlés ne sont pas uniquement des établissements spécialisés mais également des bijouteries, des vendeurs itinérants ou lors des brocantes.
La plupart des infractions sont des publicités trompeuses avec la garantie d’un achat « en cash » ou « en toute discrétion ». Alors que la réglementation actuelle ne permet pas de règlement en cash est la présentation obligatoire de votre nom et pièce d’identité dans un registre.
Ainsi, cette enquête confirme la nécessité pour le gouvernement de renforcer la régulation de ce secteur.